la méthode a ses limites fixées par le volume d’ordures à enlever.

Pour ces journées « Martigues propre » organisées par la municipalité, nous étions équipés des 2 cargos avec leur remorque pour le ramassage. Chacun chacune étant venu(e) à bicyclette. Nous étions une dizaine de LVDE. Nous avions prévu de partir des Laurons et revenir sur Martigues tout en ramassant quelques détritus éparses.IMG_3197(1)

Nous n’avons fait que 100 mètres de nettoyage sur l’avenue d’Auguette (D9) à partir des feux avec l’avenue des Tamaris. Nous sommes en sortie d’usines et nous étions protégés de la circulation par les barrières de protection en bois.

Nous pouvons dire que nous avons récupéré une partie de la production de NAPHTA et une partie de celle d’ARCELOR. Continuons la PUB avec KRO et Heineken en bonne position. Mais aussi des boites de préservatifs, quelle idée ! Et de nombreuses pièces d’automobiles

10 sacs d’ordures collectés en 3 heures sur une centaine de mètres. Nous avons dû faire plusieurs voyages vers la décharge du vallon du fou avec les cargos à bloc. Cela parait énorme. En réalité, ce type d’accotement n’est jamais nettoyé car situé derrière des barrières et donc pas accessible aux rotobroyeurs pour le fauchage, et les déchets s’accumulent.

Avec un rotobroyeur, les bordures de routes ne sont pas nettoyées avant le passage de la machine, l’herbe et les détritus sont broyés et forment un mélange au bord des routes riche en couleurs.

C’était le mercredi 9 octobre, nous avons renouvelé l’opération le samedi 12 à l’aube, juste avant la grande journée vélo. De la gare de Lavéra au rond point du chat noir, sous le viaduc autoroutier, cette fois 5 sacs, surtout récoltés dans la descente de Lavéra, la voie verte était presque propre.

Nous comptons bien finir de nettoyer la D9 jusqu’à la route des Olives, tout en haut, peut-être avec l’aide des habitants de Lavéra.